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Salon du Livre 2025

ATTENTION

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Nous vous proposons une conférence supplémentaire

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SAMEDI 27 SEPTEMBRE à 18h

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"Auzat, Péchiney, santé des ouvriers  en Ariège"

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animée par Mireille BECCHIO

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XIXème Salon du Livre des Gourmets de Lettres

26, 27 et 28 septembre 2025

Intervention

Philippe Berrou

Président

 

Notre association « Les Gourmets de Lettres » est heureuse de vous accueillir à son XIXème Salon du Livre qui œuvre pour la promotion de la lecture et la création littéraire.

Cette année, après Magyd Cherfi, Amélie Poisson et Lydie Salvayre, c’est Guillaume Sire qui a accepté de jouer le rôle de parrain et nous l’en remercions très chaleureusement.

Vos racines sont bien ancrées à Toulouse et dans les Corbières. En 2006, vous avez gagné le concours de la poésie décerné par l’Académie des Jeux Floraux. Vous publiez romans, nouvelles. En 2020, le Prix Orange vous a été décerné pour le roman « Avant la longue flamme rouge ». Cet après-midi à 15h30 vous avez accepté de participer à une rencontre avec le public. Philippe Gilbert, journaliste à Radio Présence, nous fera l’honneur d’animer cette rencontre.

Pour vous, l’écriture est une façon de recevoir. Et en écrivant, vous avez l’impression d’écouter, de prendre, de comprendre.

Vous dites aussi que quand on écrit, quand on lit, on s’ouvre au meilleur comme au pire.

Merci encore d’avoir répondu favorablement à notre invitation. 

Je voudrais remercier les institutionnels, qui d’une manière ou d’une autre, nous aident à organiser ce salon.

Merci à la mairie de Toulouse, au Conseil Départemental de la Haute-Garonne et au Conseil Régional d’Occitanie qui nous apportent un soutien logistique et financier.

Le Conseil Régional nous a fait savoir qu’il ne pourra être représenté ce jour et s’en excuse.

Un grand merci à nos partenaires :

  • Hôtel Palladia,

  • La Librairie Privat,

  • Radio Présence.

Je voudrais adresser un merci tout particulier à l’Académie des Jeux Floraux qui place tous les ans ce salon sous son égide.

Merci à tous les conférenciers qui tout au long de ce salon vous proposeront diverses conférences.

A ce sujet, pour votre information, nous avons ajouté une conférence cet après-midi à 18 heures, dont le thème sera « « Auzat, Péchiney, santé des ouvriers en Ariège ». Elle vous sera proposée par Mireille Becchio, autrice d’un ouvrage « Auzat, Péchiney, le rêve éveillé ».

Enfin et surtout, un très grand merci à vous, les autrices et les auteurs, pour avoir répondu présents. Sans vous, cette manifestation ne pourrait exister.

Nous sommes heureux d’accueillir cette année deux associations littéraires :

  • L’Indé Panda qui se définit comme une tribu de férus de littérature, prêts à découvrir des univers incroyables créés par des plumes indépendantes.

  • Chez Calliope, une association étudiante qui a pour ambition de promouvoir la littérature et de faire vivre la culture du livre au sein des étudiant(e)s.

Et je voudrais également rappeler que si ce salon existe, il le doit aux « nombreux » bénévoles qui, tout au long de l’année, donnent beaucoup de leur temps et s’investissent très fortement afin de vous proposer un tel événement.

Un merci tout particulier aux différents membres des jurys qui ont accepté de lire les ouvrages proposés et de désigner les lauréats.

Avant de donner la parole à notre invité d’honneur et au représentant de la mairie de Toulouse Monsieur Francis Grass, chargé de la culture, je tiens à exprimer mon inquiétude quant à l’avenir, non seulement de ce salon, mais aussi des diverses manifestations culturelles proposées par des associations qui s’investissent pour offrir des programmations de qualité. Elles représentent un tissu très riche de bénévoles et d’acteurs du monde de la culture. Les coupes budgétaires qui leur sont imposées n’augurent pas d’un avenir prometteur pour ces structures et les manifestation qu’elles organisent.

L’an prochain, « Les Gourmets de Lettres » et son salon fêteront leur vingtième année d’existence. Au vu de la situation, nous ne sommes pas certains de pouvoir mettre en place cette XXème édition qui mériterait d’être un événement incontournable. C’est pourquoi nous avons décidé de faire appel au mécénat afin de recueillir des fonds qui nous permettraient de pérenniser cet événement. Je profite donc de cette prise de parole pour appeler à notre soutien financier.

En 1976, Eugène Ionesco disait que « La culture est encore la dernière chose qui nous permette de dépasser le monde quotidien et de réunir les hommes ».

Encore une fois, cette année, nous vous offrons un programme qui nous semble très riche et très divers. Nous avons la volonté d’ouvrir ce salon à toutes et tous, des plus jeunes aux plus anciens. Il y en aura pour tous les goûts.

Françoise Sagan disait que ce qu’il y a de plus passionnant, de plus vivant, ce sont les livres, l’effort que font les hommes pour expliquer leur vie le peu de temps qu’ils ont à vivre et en tirer une leçon.

Les Gourmets de Lettres vous invitent à vivre votre passion de l’écriture, de la lecture en allant à la découverte de tous ces merveilleux auteurs, autrices qui se feront un immense plaisir de partager avec vous leur passion du livre.

Très bon salon à toutes et tous.

LES PRIX

  • PRIX DE LA POÉSIE

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    CLAUDINE CANDAT

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Mon opium est dans mon cœur rassemble en six parties une cinquantaine de poèmes parcourus des cris du cœur et des voix de la nature. Libres, vers et strophes n’obéissent qu’à une seule contrainte : la musicalité. Poèmes à lire dans le silence d’une chambre emplie de la voix d’une jeune fille qui n’est plus. Joies, chagrins, peurs et espoirs ! Poèmes à dire, portés par leur musique intérieure. Une poétesse à écouter et à rencontrer.

FRAN BERCOT

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La plume de cette magicinne alchimiste de l’écriture a aussi le pouvoir de créer des dessins sur ses mots. Au hasard des pages, la ballade de Frann nous fait découvrir des objets, animaux fantastiques, fou garou écrivain en nous invitant à un jeu géométrique pour sculpter ses poèmes avec des lettres.

Les souvenirs des jours lointains qui défilent dans ce voyage sont retranscrits comme dans un journal intime. Frann part faire un tour dans le passé toujours présent pour un voyage

de l’autre côté du miroir ou de la porte…

  • PRIX DE LA NOUVELLE

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CHRISTINE SÉRIGNAC

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Sur un ton à la fois tendre et poignant, Et comme une évidence... présente un bout d'histoire de treize destins croisés qui se frôlent et se mélangent. Cet ouvrage vous invite à plonger dans des récits vibrants aux chutes inattendues, émouvantes et caustiques. À travers l'insolite des situations et la douceur des protagonistes, il met à nu un tourbillon d'expériences où s'entremêlent envie, résignation, lutte et bonheur...

  • PRIX DE LA BIOGRAPHIE

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PIERRE NICOLAS

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Pierre Nicolas a été journaliste audiovisuel pendant trente-cinq ans. Il fut aussi fonctionnaire à la DASS, infirmier en salle d’opération, mécanicien moto, vendeur de disques et finalement animateur, journaliste et présentateur du journal télévisé. Sa « drôle de vie » est parsemée d’autant de joies que de déceptions qui, à son grand étonnement, ne l’ont, au final, pas tué. Depuis sa naissance au milieu des années cinquante, jusqu’à son départ en retraite, son livre fourmille d’anecdotes décalées sur la vie de famille, la musique et le monde des «boomers».
L’évolution des télévisions et celle du métier de journaliste, il est co-détenteur d’un premier Prix international pour sa couverture de la catastrophe d’AZF en 2001, sont omniprésentes dans ce premier livre.

  • PRIX DU ROMAN HISTORIQUE PROFESSEUR JACQUES ARLET

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PATRICK CHÉREAU

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Après deux années de recherches et de plongée dans l'athmosphère du XIXe siècle Patrick s'est lancé dans l'écriture d'un roman historique de terroir.

Ficelle, l'églantine des prés relate la rencontre entre Delphine, l'héroïne de la nouvelle "Dura vidassa", et Gabriel un journaliste lyonnais qui, fuyant la censure du pouvoir avant le coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte, a entamé le voyage à Saint Jacques de Compostelle.

La loi Faloux qui crée enfin en 1850 l'école publique des petites filles, le coup d'Etat du 2 décembre 1851, les tentatives d'insurrection, l'Algérie, la justice de paix servent de toile de fond à cette histoire dont les décors sont ceux du Quercy blanc et de la vie du monde rural né après la Révolution.

  • PRIX DU ROMAN 

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​GEORGES BARAX

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Louis Barate, vieil homme facétieux et admirateur du philosophe Edgar Morin, de deux ans son aîné, fête ses cent ans entouré de sa famille - sur quatre générations - et de nombreux invités. Il a exercé en tant que médecin traitant « à l’ancienne » durant quarante-cinq années à Argelès-Gazost, sous-préfecture des Hautes-Pyrénées où il habite toujours, dans une vallée à la belle douceur de vivre imprégnée par les passages du Tour de France et le culte du Rugby. Le roman est l’occasion de retrouver Louis et les siens de sa...

  • PRIX COUP DE COEUR

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​ISAELLE CAILHAU

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Dans la lumière rosée du matin, Lilipouce fait un vœu: - Oh vent, joli vent, je veux être assez grande, je veux être aussi haute que trois pommes, pour pouvoir aller à l'école! [source éditeur]

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GUILLAUME SIRE

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